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Pétrole : L’OPEP fait grimper les cours. Le baril grimpe vers les 70$
Lors de sa réunion, l’OPEP a décidé de ne pas changer les quantités d’extractions pétrolières et le niveau des exportations. L’objectif est de faire grimper les prix et ça fonctionne.
Avec le départ de Donald Trump, qui avait pris l’habitude de menacer le cartel du pétrole dès que les prix montaient, la voie est libre. Les prix du baril grimpent en direction des 70$. Il y a une année, le baril flirtait avec les 30$ alors que la Russie et l'Arabie Saoudite avaient coordonné leurs efforts pour faire couler le pétrole de schiste américain.
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Les majors pétrolières et gazières publient les résultats pour 2020
L’année 2020 aura été une année particulière dans la fabuleuse histoire du pétrole et du gaz. Est-ce le tournant?
Si le pétrole avait débuté l’année à plus de 60$ le baril, il est ensuite passé dans un cycle de montagnes russes entre -37$ et un sommet à 40.
Les plus grandes majors pétrolières sont souvent perçues comme riche à millions. Dans la réalité, les entreprises privées, cumulent plus de $ 250 milliards de dettes. Leurs pertes se chiffrent en milliards.
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Pétrole : le baril grimpe au-dessus de 50$
Pour la première fois depuis le mois de mars, le baril de pétrole est passé sur la barre des 50$ à Londres à 50,95 pour être précis. A New York, on le retrouve à 47,63$ pour la même quantité d’or noir. Alors que le coronavirus paralyse de nombreux pays, cette poussée de fièvre est paradoxale.
Selon les financiers et les traders, cette hausse est justifiée par l’arrivée de nombreux vaccins ainsi qu’une augmentation de la demande en Inde et en Chine. En un mot: nous sommes "on the road again"!
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Chaos sur le pétrole américain: il termine à moins 37$. Oui, -37$ !
Journée chaotique, historique et vice versa. Le prix du baril de pétrole américain, WTI, est passé sous la barre des zéros, à -37.36$ le baril pour être précis. Pour bien comprendre, ce lundi, les heureux propriétaires de pétrole américain ont payé 37,63$ à celui qui voudra bien leur débarrasser de leur pétrole ! L’industrie pétrolière a réinventé les soldes ou un moyen de piquer la une au coronavirus sur facebook.
La journée se termine alors que le baril valait encore +18,27 à l'ouverture, soit une chute de 55$! Après cette dégringolade, le WTI va remonter rapidement. Comment en est-on arrivé là ?
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Pétrole : 19$ hier soir et 26$ ce matin !
Le baril de pétrole est entré dans la zone des 19$ pour ses 159 litres, soit 12 centimes l'unité, 10 fois moins cher qu’un litre de Coca-Cola! A 19,57$, je voulais vous parler d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.
Ca, c’était le début de l’article écrit hier soir. Ce matin, après avoir rafraichi 20 fois la page des cours, oui, c’est bien ça ! Le baril américain a pris 6$ en moins de temps qu’il n’aura fallu à Donald Trump pour annoncer son plan de réouverture du pays.
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Pétrole : Le coronavirus plus fort que l’OPEP et le G20 ?
Contaminé par le coronavirus, le prix du baril de pétrole tousse. Il est toujours en vie, mais il tousse. La semaine dernière, grâce à un tweet dont il a le secret, Donald Trump, avait réussi à le réanimer et à faire bondir les cours de +25% en quelques heures!
Rééditer cet exploit était l’objectif de la fusée à deux étages concoctées par l’OPEP, le cartel du pétrole, et les 20 pays les plus musclés, le G20. Il y a urgence. Le carburant de l’Economie mondiale, le pétrole, est au soin intensif. Investissements sabrés et une volatilité qui ressemble à un coq à qui l’on vient de couper la tête ont ponctué une semaine du meilleur épisode de Dallas.
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Et si Nabilla faisait chuter les prix du pétrole?
Donald Trump est un génie. Jeudi dernier, avec un seul et unique tweet il a réussi à faire grimper les prix du baril de 20 à 28$! La plus grande hausse dans l’histoire du pétrole en 24h.
Son passage sur Twitter a permis de générer une plus value de 800 millions $ par jour pour l'industrie pétrolière.
Comment est-ce possible ? Est-ce que Nabilla pourrait en faire tout autant?
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Le pétrole : cette bombe à retardement
Il y a trois semaines, sous l’impulsion du corona, de l’Arabie Saoudite et de la Russie, le pétrole a perdu 50% de sa valeur. Bien préparés et histoire de tenir le choc, ces deux pays avaient largement alimenté en pétrodollars leurs fonds souverains.
A contrario, les Etats-Unis n’ont rien vu venir et leur préparation à cette éventualité n’a d’égale qu’un discours de Donald Trump sans prompteur.
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Après 12 jours de Krach Pétrolier: le baril à 23$
Le coronavirus est en train de ravager l’industrie pétrolière et la destruction de la demande pourrait atteindre le chiffre astronomique de 10 millions sur les 100 millions de barils consommés par jour (b/j). Les cours ont chuté à 23,38$ à New York et à 27,91$ à Londres.
En parallèle, l’une des passe-d’armes les plus virulentes du protectionnisme se révèle dans la guerre pétrolière déclarée entre la Russie, l’Arabie Saoudite et les USA. La "Dominance Energétique" américaine est remise en cause mais chaque mètre sera défendu avec ardeur. Ce chaos pourrait fondamentalement remodeler notre utilisation d'énergie ainsi que la géopolitique mondiale. Comment en sommes-nous arrivés là ?
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Pétrole: La guerre est lancée par la Russie et l'Arabie Saoudite
Les histoires d’amour finissent mal en général, prétend la chanson. En 2016, l’OPEP et l’Arabie Saoudite avait convié la Russie à marier leurs efforts afin de maintenir les cours du pétrole. Vendredi dernier, l’alliance a volé en éclat.
Mis à mal par le coronavirus et une chute de la demande, Ryad avait proposé une réduction supplémentaire de production de 1,6 millions de barils par jour. Moscou a refusé. La scène de ménage a fait dégringoler les cours.
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Le Pétrole chute sous les 30$ à New York et 32$ à Londres
Badaboum ! Ce matin au réveil, j’ai regardé les cours du pétrole, me suis frotté les yeux, ai rafraichi mon navigateur, refrotté mes yeux. Non, c’est bien ça.
En un weekend, les prix pétrole viennent de perdre 30%. Alors que le baril flirtait avec les 70$ en janvier, et surfait à 45$ vendredi, il vient de se prendre les pieds dans le tapis. On le retrouve au niveau de la poussière à 29,39 à New York et 33,11 à Londres.
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Pris de panique, le pétrole passe sous les 50$ le baril
Quand on fait des plans, les dieux rigolent. Début janvier 2020, le pétrole devait grimper de 62$ le baril à 70$. C’était un coup sûr. A la bourse, tous les ordinateurs et les bots en étaient convaincus et auto-programmés.
Il n’aura fallu que quelques semaines pour que le coronavirus pèse sur le bouton panique, et les cours de s’effondrer. A la fin février, au fond du trou, on aperçoit le pétrole à 44,76$ à New York et 49,67$ à Londres.
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Pour connaître le prix du baril : lisez Trump
Si par le passé, pour connaître l’évolution des prix du baril de pétrole il fallait analyser une multitude de facteurs, aujourd’hui, il suffit de se connecter à Twitter et de se brancher sur le compte de Donald Trump.
La semaine dernière, après des échanges de courtoisie entre Pékin et Washington sur les tarifs douaniers, le baril a trouvé refuge sous la barre des 60$. On l’a repéré à 58,80 Londres et à 54,17$ New York, et cela malgré les problèmes pétroliers en Iran, en Libye, au Nigeria, au Venezuela et l’enrayement possible de la production de schiste aux USA.
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Pétrole: le baril dégringole à 45$
Comme un pied de nez à la COP24 sur le climat, le baril de pétrole dégringole à 45,79$ à New York et 55,89$ à Londres soit une baisse de plus de 30$ depuis début octobre.
A la fin de l’été, le consensus tablait sur un baril à 100$. Mais à la bourse à chaque fois que c’est «évident», c’est le contraire qui se passe. Surproduction des 3 géants USA, Russie et Arabie Saoudite et perspectives économiques moins roses que prévues sont les ingrédients pour tenter d’expliquer cette dégringolade.
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L’OPEP tente de repousser les prix du pétrole vers 70-80$
La réunion des membres de l’OPEP a entériné une diminution de 1% de l’extraction mondiale de pétrole à -1,2 million de barils par jour. L’objectif est de freiner la chute des cours de 87 à 58$ le baril (-33%) des deux derniers mois pour remonter dans une fourchette de 75 à 85$.
Pour le cartel, cette base devrait permettre des rentrées suffisantes de pétrodollars, de soutenir la croissance pour maintenir la demande de pétrole et de freiner les investissements dans les énergies renouvelables. A ce petit jeu, chaque pays défend ses propres intérêts. Ne serait-il pas le moment d’envisager une transition hors des griffes du pétrole?
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Badaboum! Le pétrole repasse sous les 70$
Début octobre, le pétrole atteignait 86,74$. Un baril à 100$ était un coup sûr, d’autant que les sanctions du président Trump envers l’Iran auraient dû retirer des marchés plus d'un million de barils par jour.
Cependant, à la bourse, à chaque fois qu’une évidence est trop évidente (et que le 20Minutes en parle), c’est exactement le contraire qui se produit.
L'or noir vient de perdre plus de 20% et se retrouve à 69,13$ à Londres et 59,28$ à New York.
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Le pétrole à 100$: Un retour vers un passé connu ou un futur différent?
Le pétrole continue sa hausse au-dessus de 80$. Sans un ralentissement mondial de l’Economie, la barrière des 100$ sera bientôt franchie. Sous le poids du baril, la croissance pliera pour replonger dans une nouvelle crise. Une impression de «déjà vu» qui rappelle la dernière crise.
Avec du recul, on constate qu’au lieu d’imaginer un futur différent, les politiques, les financiers et les banques centrales se sont focalisés afin de reconstruire à l’identique le monde d’avant 2008.
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Réunion de l'OPEP: Le pouvoir de stabiliser les prix du pétrole
Il y a 18 mois, les membres de l’OPEP avaient réduit leurs exportations dans le but maintenir le baril sur la barre des 40$. Ce vendredi, la réunion de l’OPEP+ (OPEP et la Russie) devra répondre à l’épineuse question : faut-il maintenir ces quotas ou augmenter la production pour éviter de passer sur les 100$?
Pendant que la demande augmente et atteint les 100 millions de barils/jour (b/j), l'offre devient insuffisante. Les stocks s’amenuisent. D’un baril qui favorisait la relance économique, la perspective d’un baril onéreux met à rude épreuve le concept de croissance mondiale.
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Le Pétrole: Entre poker menteur et joueurs d'échec
Depuis le début de l’année, le baril de pétrole a gagné plus de 10$ et les probabilités de le voir continuer sur cette tendance augmentent. Le manque d’investissements dans l’exploration de nouveaux gisements, la chute du Venezuela, les problèmes de la Libye et le choix de Trump sur l’accord iranien pourraient à nouveau voir le baril émerger au-dessus de 100$.
Une partie mondiale entre joueurs de poker et joueurs d'échec est engagée.
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Un baril de pétrole à 74$, ça vous change le monde
Le baril de pétrole a pris l’ascenseur et gagné 7$ en 2 semaines pour atteindre 74.72$ à Londres. Pour autant, l’avenir de l’or noir est toujours aussi difficile à prédire même si la probabilité de le voir remonter à 100$ gagne du terrain.
Les fondamentaux actuels ne sont pas sans rappeler la crise de 2008: forte hausse des prix du baril, dérégulation financière, poussée de l’inflation et niveau inquiétant de la dette. Le tout avait débouché sur un crash. L’histoire est-elle en train de se répéter?
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Pétrole: Le Coup de Poker de l'OPEP
De premier abord, l’accord de la réduction de 1,2 million barils/jour de la production pétrolière annoncée par l’OPEP semble être un très joli coup de Pocker gagnant. Mais il pourrait également mettre en péril le cartel qui représente le tiers de l’offre mondial.
Dès l’annonce, les ministres du pétrole des 13 membres ont immédiatement vendu le concept d’un baril à 60-70$. Comme un bouchon de champagne, les prix ont explosé pour passer sur la barre des 50$. Tout semblait se dérouler comme prévu sauf que dans le pétrole, dès que l’on est sûr de quelque chose, c’est le contraire qui se produit.
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