Baril
-
L’OPEP tente de repousser les prix du pétrole vers 70-80$
L’OPEP tente de repousser les prix du pétrole vers 70-80$
La réunion des membres de l’OPEP a entériné une diminution de 1% de l’extraction mondiale de pétrole à -1,2 million de barils par jour. L’objectif est de freiner la chute des cours de 87 à 58$ le baril (-33%) des deux derniers mois pour remonter dans une fourchette de 75 à 85$.
Pour le cartel, cette base devrait permettre des rentrées suffisantes de pétrodollars, de soutenir la croissance pour maintenir la demande de pétrole et de freiner les investissements dans les énergies renouvelables. A ce petit jeu, chaque pays défend ses propres intérêts. Ne serait-il pas le moment d’envisager une transition hors des griffes du pétrole?
-
Le pétrole à 100$: Un retour vers un passé connu ou un futur différent?
Le pétrole à 100$: Un retour vers un passé connu ou un futur différent?
Le pétrole continue sa hausse au-dessus de 80$. Sans un ralentissement mondial de l’Economie, la barrière des 100$ sera bientôt franchie. Sous le poids du baril, la croissance pliera pour replonger dans une nouvelle crise. Une impression de «déjà vu» qui rappelle la dernière crise.
Avec du recul, on constate qu’au lieu d’imaginer un futur différent, les politiques, les financiers et les banques centrales se sont focalisés afin de reconstruire à l’identique le monde d’avant 2008.
-
Pétrole: le baril dégringole à 45$
Pétrole: le baril dégringole à 45$
Comme un pied de nez à la COP24 sur le climat, le baril de pétrole dégringole à 45,79$ à New York et 55,89$ à Londres soit une baisse de plus de 30$ depuis début octobre.
A la fin de l’été, le consensus tablait sur un baril à 100$. Mais à la bourse à chaque fois que c’est «évident», c’est le contraire qui se passe. Surproduction des 3 géants USA, Russie et Arabie Saoudite et perspectives économiques moins roses que prévues sont les ingrédients pour tenter d’expliquer cette dégringolade.
-
Un baril de pétrole à 74$, ça vous change le monde
Un baril de pétrole à 74$, ça vous change le monde
Le baril de pétrole a pris l’ascenseur et gagné 7$ en 2 semaines pour atteindre 74.72$ à Londres. Pour autant, l’avenir de l’or noir est toujours aussi difficile à prédire même si la probabilité de le voir remonter à 100$ gagne du terrain.
Les fondamentaux actuels ne sont pas sans rappeler la crise de 2008: forte hausse des prix du baril, dérégulation financière, poussée de l’inflation et niveau inquiétant de la dette. Le tout avait débouché sur un crash. L’histoire est-elle en train de se répéter?