BNS
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Energies, Economie Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Octobre 2017
Energies, Economie, Pétrole et Peak Oil: Revue Mondiale Octobre 2017
Le 1er de chaque mois, retrouvez un tour du monde des Energies.
- Russie: Vladimir Poutine prend sa place au Moyen-Orient
- Arabie Saoudite: Un méga projet à 500 milliards $
- Monde: Nouveaux records de CO2 et de Méthane
- USA: Le pétrole de schiste peine à convaincre les investisseurs
- Chine: La Dominance Mondiale des Energies Renouvelables
- Irak: La ville pétrolière de Kirkuk change de mains
- Iran: Trump pousse le pays dans les bras de la Chine et de la Russie
- Angleterre: A Hinkley Point, EDF évite la grève avec une hausse des salaires -
La Norvège met la Banque Nationale Suisse sous Pression
La Norvège met la Banque Nationale Suisse sous Pression
Le Gouvernement Norvégien a demandé à son fonds souverain de 1'000 milliards $, le Government Pension Fund Global (GPFG), d’exclure graduellement de son portefeuille d’actions, les entreprises de production et d’extraction pétrolière et gazière non conventionnelles. Le gouvernement justifie sa décision par une volonté de réduire les risques financiers sur l’économie norvégienne.
Paradoxalement, alors qu’en juin 2014, la Banque Nationale Suisse affichait des investissements de 1,9 milliards $ dans des entreprises américaines actives dans des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon, nucléaire), aujourd’hui ce montant atteint un niveau record de 6,482 milliards $.
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Pétrole: Pertes abyssales de la Banque Nationale Suisse
Pétrole: Pertes abyssales de la Banque Nationale Suisse
Pendant que 175 pays ont signé l’accord sur le climat à l’ONU ce samedi à New York, les grandes majors pétrolières, de charbon et du gaz se retrouvent également sous pression de leurs investisseurs. Ainsi Chevron, ExxonMobil, Total font face à leurs actionnaires qui leur demandent de prendre en compte l’impact de leurs activités sur le climat.
Cette semaine, c'est au tour de la Banque Nationale Suisse (BNS) de tenir son Assemblée Générale dans la capitale helvète. L’institution détenue majoritairement par les cantons suisses va également faire face à l’épineuse question de ses lourds investissements dans les énergies fossiles et de schiste. -
Pourquoi l'avenir pétrolier des USA dépend du Venezuela
Pourquoi l'avenir pétrolier des USA dépend du Venezuela
La malédiction du pétrole s'illustre une fois de plus. Cette fois c'est le Venezuela qui en fait les frais. Si pour le grand public, l’image d’un gouvernement incapable et corrompu a été vendue, la partie non visible de l’iceberg révèle un enjeu pétrolier extrême. Actuellement dans les mains de la Chine et de la Russie, les Etats-Unis ont la cruelle nécessité de s’approprier cet or noir.
Même si les USA sont devenus les plus grands producteurs pétroliers au monde, la mauvaise qualité de leur pétrole les oblige à incorporer le brut extra lourd du Venezuela pour produire kérosène ou diesel. Sans ce pétrole, qui s’épuise, la suprématie énergétique des USA ne tient qu’à un fil.
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Une Chance : Trump n’est pas Smart
Une Chance : Trump n’est pas Smart
En focalisant sa stratégie sur l’exploitation des énergies fossiles, Trump a pris une décision d’une portée magistrale.
Certes, cette erreur stratégique est une malédiction pour le climat, mais elle offre l’opportunité à la Chine d’imposer son leadership industriel dans les énergies du futur et à l’Europe son intelligence dans les technologies «Smart».